Le site internet Cyclolisa est clos. Qu’avons-nous fait pendant un an ?

Parti du simple constat effectué par Alain, que, dans Paris, la prise de contact et de rendez-vous auprès d’un atelier de réparation de vélo est lente et fastidieuse, l’idée essentielle du projet était de faciliter cette intermédiation entre le cycliste et le réparateur.

Dans un premier temps, Alain s’est attelé à la programmation d’un site internet venant concrétiser l’idée, tandis que Nicolas était chargé de donner de la perspective au projet en lui créant un début de visibilité. Pier Paolo a par la suite rejoint le duo pour apporter une contribution plus juridique au concept.

À la vue de la montée du site internet, Alain, Nicolas, et Pier Paolo ont pris la décision d’offrir une structure juridique à Cyclolisa afin de faciliter et crédibiliser les prises de contact avec les professionnels du marché.

Une fois la machine enclenchée, Cyclolisa a intégré un incubateur universitaire (AssasLab’), a pris contact avec des agents de la BPI pour rechercher des aides, et a entamé un début de partenariat avec l’adjoint au maire de Paris, en charge des transports. Cyclolisa a également pris une dimension associative en approchant la Fédération des usagers de bicyclette (FUB) ainsi que Mieux se déplacer à bicyclette (MDB). Une quinzaine de réparateurs parisiens (BikeTheWay, Jour de Vélo, etc.) ont rejoint le projet en intégrant Cyclolisa à leur processus de prise de réservation. Au total, 20 commandes par semaine, sur 6 mois, ont été passées.

Étant tous les trois étudiants, nous avons décidé de privilégier la qualité de nos études en prenant du recul vis-à-vis du projet, qui commençait à s’essouffler. Aujourd’hui, l’activité de l’entreprise a cessé, et Cyclolisa est devenu pour tous les trois un projet complet, sérieux, structuré et abouti.

Merci à ceux qui ont cru en nous !

Alain, Nicolas, et Pier Paolo.

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Alain du Pavillon
Nicolas Walpoel
Pier Paolo Paci